De nombreuses célébrités ont aujourd’hui recours à la chirurgie plastique. C’est notamment le cas d’Ophélie Winter. Mais à la suite d’une opération « ratée », la chanteuse a décidé de briser le silence dans « Quotidien ».
Ophélie Winter était l’invitée de Yann Barthès cette semaine dans l’émission de TMC baptisée « Quotidien ». Une apparition remarquée puisque la métamorphose de la chanteuse a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux. Les téléspectateurs ont en effet constaté que sa chirurgie plastique a « raté ». Le point à travers cet article.
Ophélie Winter réagit aux critiques
À 46 ans, Ophélie Winter est aujourd’hui en pleine promotion de son ouvrage intitulé « Résilience ». Une autobiographie dans laquelle elle raconte son parcours (professionnel et personnel) marqué par de nombreuses péripéties. La chanteuse a également profité de son passage sur le plateau de TMC pour répondre aux critiques des détracteurs. En effet, sa transformation physique suscite de vives réactions sur la Toile. Nombre d’internautes lui reprochent d’avoir loupé sa chirurgie esthétique.
La principale concernée reconnaît que les résultats ne sont pas probants. Cependant, elle a tenu à faire une grosse mise au point. L’interprète de « Shame on you » a décidé d’opter pour la chirurgie plastique en vue de réparer son visage défiguré, des suites d’un cambriolage. Comme le souligne l’artiste : « J’ai été victime d’un affreux cambriolage, on m’a quasiment frappé dessus… J’ai frôlé la mort. Ils m’ont menacé pour me sonner ».
« Je me sens encore plus mal dans mon visage qu’avant »
Ophélie Winter estime aujourd’hui qu’elle n’est pas parfaitement symétrique. Au cours de son entretien avec Yann Barthès et son équipe, la sœur de Déborah a expliqué : « Je me sens encore plus mal dans mon visage qu’avant ». À la suite de cette tragédie, la comédienne souligne qu’elle a même été virée de l’hôtel où elle séjournait. Et la principale concernée de conclure : « À la base, le regard des autres me déstabilise. Mais allez voir ma tête au petit écran, de me voir comme ça… Je crains de ne pas y arriver », déplore-t-elle.